Récits
de voyages et documents anciens
sur le Costa Rica et l’Amérique centrale,
fin du 19e siècle et début du siècle dernier…
Récits
de voyages en 1858 - 1859, 1906, 1909, 1919, 1931
5
passionnants récits de voyage par 1 voyageur
britannique et 4 voyageurs français qui se sont rendus
au Costa Rica et en Amérique centrale à la première
moitié des 19e et 20e siècles. Il est étonnant
de constater que les caractéristiques mises en avant,
sur le Costa Rica et ses habitants, sont encore actuelles…Paysages
impressionnants de beauté, accueil convivial des Costariciens,
modernisme quand aux idées et au pays. La connotation
raciste et colonialiste est à remettre bien sûr,
dans le contexte des années 1800 et 1900… Bonne
lecture !
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Récit
de voyage par A. Laugel, relatant le voyage en 1858 et 1859
d’Anthony TROLLOPE, citoyen britannique. Arrivant du
Panama, Trollope débarque au Costa Rica au port du
Pacifique de « Punta Arenas »…
Sont abordés : le projet du canal
au Nicaragua, la capitale San José aux allures provinciales,
la culture de la canne à sucre et du café, les
étrangers qui vivent au Costa Rica, le volcan Irazu,
et un mystérieux « Mont-Blanco » qui n’a
jamais été gravi…Le Rio Sarapiqui, (orthographié
Sérapiqui), et l’exubérance de ses rives.
Au Nicaragua, Greytown,( San Juan, del Norte), sur la côte
caraïbe…
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Un
récit passionnant, illustré par quelques photos,
dans le cadre d’un tour du monde effectué en
1904, l’auteur débarque au Costa Rica par le
port de « Punta Arenas » (orthographié
aujourd’hui « Puntarenas »).
Sont abordés : le
mélange des races – La route vertigineuse pour
San José – Les voies ferrées et les routes
peu praticables – San José, ville d’aspect
européen aux idées nord-américaines –
Une promenade dans San José – Les étrangers
au Costa Rica – Le gouvernement, l’instruction,
l’armée, la police – Les communications…
L’auteur conclut par « … c’est
au Costa Rica, en tête par l’avancement de ses
idées et par ses progrès matériels, qui
sera le premier (des pays d’Amérique centrale)
aussi à profiter de cette nouvelle vie donnée
à ces riches contrées, - si ignorées
de nous autres Français. » |
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Récit
(non moins passionnant que le précédent), dans
le cadre d’un long voyage allant des Antilles anglaises
et du Venezuela, en passant par Panama, le Costa Rica, La
Jamaïque, Cuba et le Mexique…
Sont abordés : un voyage en bateau
épique de Colón (Panama) à Puerto Limón
(Costa Rica) – La plus belle forêt du monde –
La république des oiseaux – Les vraies montagnes
à orchidées – La capitale du Costa Rica
est un village – La Costaricienne a toujours l’air
d’aller au bal – Un curé qui a sept filles
– Des carrosses pleins d’officiers français
– Un théâtre de dix millions où
l’on ne joue jamais – La vie de château
manque d’agrément – Un paradis de la race
blanche…
L’auteur conclut par « Avec
un peu d’ordre, un peu plus de moralité publique
et privée – que la présence de nombreuses
colonies européennes aurait aussitôt introduite
– ces pays fertiles et enchanteurs auraient été
des paradis de la race blanche. Le Yankee saura le prouver.
» |
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Extraits d’un
long et complet (bien que non exhaustif) récit, fort
bien documenté lors d’un voyage en Amérique
centrale juste après la Grande Guerre. L’auteur
a bourlingué dans tous les pays d’Amérique
centrale, à l’exception du Belize, qui s’appelait
à l’époque Honduras Britannique.
Sont abordés : au Costa Rica les villes
d’Heredia, d’Alajuela, de Puntarenas, de San José,
de Limón… Les chemins de fer de l’Atlantique
et du Pacifique, la culture du café, la vie sociale,
l’économie… Bonne lecture de ces morceaux
choisis !
L’auteur conclut par « Les
négociants de France auraient, semble-t-il, avantage
à se syndiquer pour la vente des articles de Paris,
des vins et des liqueurs, huiles et conserves, de la parfumerie,
des produits pharmaceutiques et mains autres articles pour
lesquels notre supériorité est universellement
reconnue. » Excusez du peu ! |
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Fort
critique, notamment à l’égard des Américains,
ce récit dans le cadre d’un voyage d’étude
débute en Guadeloupe, Martinique, Venezuela, Colombie,
Costa Rica, Panama… l’auteur débarque à
Puerto Limón du « Pastores » paquebot
appartenant à l’United Fruit Cie…
Sont abordés : Le train fort pittoresque
qui mène à San José – Les audacieuses
œuvres d’art de la voie ferrée – les
sublimes paysages traversés lors du voyage jusqu’à
San José – Des considérations d’ordre
générale sur les pays latino américains
et les Etats-Unis - La vie sociale à San José
– Le difficile voyage de San José à Punta
Arenas (Puntarenas)…
L’auteur conclut par « …surtout
qu’il soit bien entendu que les Etats-Unis Unis ne sont
pas impérialistes, ce vilain qualificatif étant
réservé aux Français qui, comme le monde
entier le sait, parce que leurs amis comme leurs ennemis le
leur répètent à tous propos, ne rêvent
que plaies, bosses et conquêtes. » |
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Descriptions géographiques,
cartes et actualités anciennes du Costa Rica
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Mise
à jour : avril 2012 |
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